Trois
noms pour un lycée : Emile-Félix Gautier (facile, EFG !),
Victor Hugo (re-facile,
ô combien de marins ... loeil était dans la tombe ...),
Omar Racim (re-re-facile, les galères
dans la rade dAlger). Il faudrait même ajouter un quatrième
nom, connu des seuls initiés,
presque le nom dorigine Petit Lycée de Mustapha.
Trois époques, trois histoires, mais en 1969, 1988 ou 2001 les
mêmes carreaux de verre et les mêmes arbres
gardent l’entrée du lycée sur la rue Hoche, le même
policier débonnaire compte les passants devant la villa
qui
abrite les bureaux de la RTA. |
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Notre
lycée était situé à l’angle de la rue
Hoche (devenue rue des Frères Meslem) et de la rue Courbet
(maintenant rue Chaoui Chouider), non loin de la Place Hoche , au centre
de laquelle se dresse toujours
ce palmier qui traverse les siècles et que nous connaissons tous.
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Qu’il
s’appelle Emile Félix Gautier, Victor Hugo ou Omar Racim,
ça reste toujours la même bâtisse
avec des souvenirs différents d’une personne à
l’autre, mais ce sont souvent des souvenirs liés à
nos premiers amours. Je n’étais pas au lycée Omar
Racim ou au Victor Hugo ou encore EF Gautier mais au lycée
du « Champ de Manœuvres » (El Idrissi) et je me souviens
me retrouver tous les jours à midi à la sortie de votre
lycée attendant la fille que j’aimais à cette
époque…C’était en 1987. Je fais le pari
que tout le monde a une histoire de cœur avec ce lycée.
(Fayçal) |
il est temps de laisser la parole à tous ceux et toutes celles
qui ont usé leurs fonds de pantalon ou de jupe
sur les mêmes chaises, qui ont aimé ou détesté
les mêmes profs, craint ou chahuté les mêmes pions,
bref
tous les anciens et les anciennes du « Lycée Victor Hugo
»
C’était des élèves, des profs et des pions
; et l’Administration en plus ... Alors on aura des élèves,
des profs
et des pions, tous des anciens bien sûr, puisque le Lycée
Victor Hugo n’a vécu que cinq ans, de la rentrée 1963
à la sortie 1969.
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